MilK Decoration dévoile sa nouvelle formule graphique et éditoriale

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MilK Decoration, déclinaison de la marque MilK qui compte parmi les titres emblématiques du pôle luxe et art de vivre de Prisma Media, annonce le lancement de sa nouvelle formule graphique et éditoriale.

Le magazine évolue avec plusieurs changements notables destinés à mettre en valeur son contenu visuel et éditorial. Il adopte un format agrandi, offrant ainsi une mise en page plus aérée pour les textes et les images. La couverture met désormais en avant une photo en pleine page, tandis que l’intérieur se pare de nouvelles typographies et d’une palette de couleurs repensée.

Sur le fond, la rédaction poursuit son exploration du beau à travers des reportages immersifs, des portraits inspirants de créateurs contemporains et des analyses approfondies. Une curation rigoureuse est également mise en avant avec l’introduction de nouvelles sections « news » et « agenda culturel », désormais davantage éditorialisées pour offrir un aspect plus pédagogique au magazine.

Fondée en 2012 par Isis-Colombe Combréas et Karel Balas, MilK Decoration est une publication bimestrielle de référence dédiée au design, à la décoration et aux nouvelles formes de vie contemporaine.

Isis-Colombe Combréas, Directrice de la publication : « C’est la première fois en treize ans que MilK Decoration fait le pari de la réinvention. Cette évolution était nécessaire pour conquérir un public plus large tout en restant une référence auprès des professionnels du secteur. Notre ambition est de faire de MilK Decoration le coffee table book de toutes celles et ceux qui, depuis le confinement, se passionnent pour l’art de vivre et l’artisanat contemporain. »

Laurine Abrieu, Directrice de la publication « Cette nouvelle formule est le reflet de notre engagement à repousser toujours plus loin les limites de notre créativité, tout en restant proches de nos lecteurs. Elle incarne notre volonté de raconter des histoires qui touchent et qui inspirent, d’explorer le beau sous toutes ses formes, et documenter les obsessions stylistiques de l’époque. »