Le Parisien a sorti ce lundi son nouveau format, qui remplace les anciennes éditions départementales, le « Grand Parisien ». Pour Jean-Michel Salvator, directeur des rédactions du Parisien et d’Aujourd’hui en France ce changement s’imposait : « On le voit bien avec des événements attendus comme les Jeux Olympiques en 2024 ou les travaux en cours de tramway et de super métro. La dimension de l’Ile-de-France rétrécit avec l’amélioration des moyens de transports. »
Ce cahier condense en 12 pages toute l’actualité de la région. Son objectif est de permettre aux lecteurs d’avoir une vision plus globale sur ce qu’il se passe en Île-de-France. Mais la différence n’est évidemment pas que sur la forme, elle implique aussi des changements majeurs sur le traitement de l’information : « La grande différence, c’est qu’il y aura moins de papiers courts et plus de reportages longs, d’enquêtes et de sujets fouillés ».
Alors que les articles courts trouvent leur place sur les plateformes digitales du média, ce sont les articles de longue haleine et plus élaborés qui séduisent les lecteurs du journal papier, plus exigeants. Il s’agit selon le Directeur des rédactions, d’une véritable « valeur ajoutée ».
Au programme de ce nouveau cahier? Des dossiers sur des thématiques précises, de belles histoires, des faits divers, des enquêtes transversales sur les changements du Grand Paris mais aussi des rubriques régulières sur des sujets concrets comme les transports, l’immobilier et les loisirs.
Retrouvez toutes les informations tarifaires et les coordonnées du Parisien dans notre base de données.